Recruter autrement
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5 bonnes raisons de faire confiance à un consultant en recrutement

Publié le : mercredi 04 novembre 2020

Face à un marché de l’emploi imprévisible, candidats et entreprises ont souvent bien du mal à se trouver.

De plus, malgré tous les efforts déployés pour recruter, il n’est pas rare de constater des erreurs de casting.

Selon une enquête de la DARES, seulement 26 % des employeurs disposent d’un service RH. Et pour 1 recrutement sur 2, l’employeur se fie au bouche-à-oreille : un constat qui révèle la grande part accordée au feeling et à l’improvisation dans des enjeux pourtant hautement stratégiques.

 

1.   Recruter est un métier

Faut-il le rappeler, recruter ne s’improvise pas.

C’est même une affaire très professionnelle, basée sur la maîtrise de techniques d’analyse, de communication, d’anticipation et une parfaite connaissance des enjeux d’un secteur. Tout un art, qui fait aussi appel à des aptitudes naturelles dans le domaine de la psychologie.

Prétendre le contraire ou négliger un processus de recrutement peut coûter très cher.

À l’heure du digital qui ouvre l’accès à des milliers de candidats en quelques clics, trouver le profil sur mesure reste une mission qui nécessite expertise, exigence, et engagement.

L’échec d’un recrutement repose sur plusieurs facteurs :

On estime que 1 CDI sur 2 se solde par un échec dans les 18 mois après l’embauche. Pour éviter d’en faire les frais, il est vital de s’en remettre à un spécialiste.

L’intermédiaire du recrutement est justement le partenaire RH privilégié des entreprises, capable de sélectionner le profil adéquat en évitant la casse.

Son but est de concrétiser une collaboration efficace et durable en identifiant la bonne personne pour le bon poste.

 

2.   Assurer un recrutement de qualité

Au-delà de la mise en relation, l’intermédiaire du recrutement vise la concrétisation d’une embauche pertinente et solide !

Et pour y parvenir, il a plus d’un tour dans son sac.

Doté d’une excellente maîtrise du terrain, il appréhende avec finesse les besoins existants sur un bassin d’emploi.

Il étudie l’ADN de l’entreprise, décrypte ses attentes et propose un conseil expert en fonction des enjeux. C’est la condition préalable pour assurer la corrélation entre une offre d’emploi et une candidature.

Il est souvent spécialisé dans un secteur professionnel : une véritable valeur ajoutée pour la mise en relation avec les profils recherchés.

Ensuite, il dispose de talents triés sur le volet pour leurs compétences, avec une attention toute particulière au savoir-être, ô combien vital à l’entreprise.

Autre atout, il bénéficie d’un excellent réseau, de nombreux partenariats, et travaille avec des outils de communication performants qui facilitent la sélection des candidats.

Il est réactif, car c’est un as de la proximité, un vrai luxe à l’heure du « tout digital ».

Enfin, et c’est fondamental, l’intermédiaire du recrutement est une personne motivée et investie : le succès d’une mission construit sa réputation professionnelle.

Cerise sur le gâteau, il offre un véritable SAV. En cas de difficulté, un service de médiation, et une reprise des recherches sont proposés : un détail qui fait la différence.

 

3.   Bénéficier d’un accompagnement sur mesure

L’éloignement social semble bien s’immiscer dans tous les domaines où les outils numériques ont pris le pas sur l’approche directe.

En conséquence, coté candidats, postuler est souvent vécu comme un parcours du combattant.

Côté entreprises, on doit faire face au déficit de postulants.

C’est par exemple le cas des secteurs touchés de plein fouet par la crise sanitaire.

Contraints de mener de véritables opérations de séduction à distance, ils rivalisent d’inventivité : publicité radio pour l’emploi à domicile, publications sur l’appli Whatsapp pour faire face à la pénurie d’enseignants de la conduite, ou encore annonces alléchantes et primes exceptionnelles.

Aussi originales soient-elles, les campagnes de communication sont lancées comme des bouteilles à la mer… dans l’espoir incertain que quelqu’un les trouve, s’y intéresse, et par-dessus tout, incarne le profil tant attendu.

Avouez que cela fait beaucoup d’efforts pour un maximum d’aléas.

L’intermédiaire en recrutement se démarque radicalement par sa façon de replacer concrètement l’humain au cœur du processus. C’est le principe d’une communication personnalisée et de proximité.

La compréhension de l’histoire de l’entreprise, de ses valeurs, de son organisation et des projets permet la mise en place d’un recrutement sur mesure.

De plus, elle favorise la traduction d’une fiche de poste abstraite en opportunité réelle pour le candidat.

Grâce à une remarquable identification des attentes de l’employeur, le candidat parvient à se projeter dans l’emploi de façon réaliste.

Par exemple, le Mercato de l’emploi développe un excellent principe d’approche directe :

Les entretiens candidats sont réalisés dans des lieux conviviaux afin de créer le terrain propice à l’identification des soft skills « sur le vif ».

De cette manière, l’intermédiaire du recrutement garantit une recrue dotée du savoir-être si cher à l’entreprise pour une intégration réussie.

Soyons clairs, la détection des soft skills est un enjeu central, qui ne peut se résumer à la sélection de CV suivie d’un entretien standardisé.

 

4.   Gagner du temps  

Les erreurs de casting ont des conséquences désastreuses sur la trésorerie et l’équilibre de l’entreprise.

Selon une étude de Glassdoor, la France se situe au premier rang des processus de recrutement les plus longs avec une moyenne de 32 jours.

Or, une embauche qui s’éternise et se solde par une rediffusion de l’offre pénalise l’employeur par une longue période impactant la productivité.

En fin de compte, les risques encourus sont variés :

Le vieux dicton « le temps, c’est de l’argent » prend alors subitement tout son sens.

C’est là où l’intermédiaire est un partenaire précieux : il maîtrise le processus, optimise la planification du recrutement et trouve les talents dans les meilleurs délais.

Sa réactivité repose sur son professionnalisme et l’identification rapide du profil adéquat dans le vivier de talents.

Les entreprises sont pressées de recruter, mais il n’est pas rare que les candidats n’aient aucun feedback après un entretien.

Pourtant, les candidats sont légitimement en attente d’une réponse rapide et argumentée.

Autre avantage, l’accompagnement proposé permet de valoriser la marque employeur en prenant soin des futurs collaborateurs dès l’embauche grâce à une communication efficace.

 

5.   Économiser de l’argent

L’impact financier d’un échec de recrutement est variable en fonction du niveau de salaire, mais il peut aisément atteindre des sommes astronomiques.

Outre le salaire et les charges versés à perte, il faut inclure :

Selon une enquête du cabinet Mozart Consulting, une embauche non aboutie représente entre 50 k€ à 100 k€ de perte.

Le succès d’un recrutement est donc un enjeu majeur pour les Ressources Humaines, notamment lorsque le contexte économique est incertain. Il ne s’agit pas uniquement de dénicher la perle rare, ou de placer un candidat en poste, mais bien de mesurer la pertinence du processus d’embauche sur le long terme.

Si l’intermédiaire a un coût, il représente seulement une fraction des prestations de cabinets spécialisés ou d’agences d’intérim dont les charges sont beaucoup plus élevées.

Conclure un recrutement qualitatif est donc un pari, mais une nécessité absolue.                 

« 100 % des recrutements réussis » pourrait être un objectif majeur au sein de toute entreprise. En attendant, les intermédiaires du recrutement se mobilisent pour relever le défi avec brio !

Et vous ?

 

Rédactrice pour le Mercato de l’Emploi : Ombeline CADIERGUE 

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